Les cyprès aux aiguilles rêveuses
Murmurent une sérénade
Accompagnant le souffle fade
Qui embaume les tombes pieuses
Une lumière éparse et tiède
Réchauffe à peine les dalles
Couvrant les joyeux dédales
Où circulent les esprits fiers
Dans ces labyrinthes sans fin
Chantonnent des voix
Les victoires et la joie
De l’air aux multiples parfums
Puis au soleil Couchant
Quand les étoiles se lèvent
La lune de ses lueurs achève
D’éclairer le marbre blanc
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