Au pays des merveilles il n’y a pas que des Alice avec leur innocence d’enfants, il y a aussi quelques monstres destructeurs d’innocence, d’enfance et de rêves !
Rima, ministre de sa majesté des mouches, est une entremetteuse très active ! Faut dire que cette libanaise, à l’allure d’une chicha fatiguée à force de tirer sur son tuyau, ne paye pas de mine, mais en même temps sa voix porte loin dans les arcanes de la république. Ses interventions et discours émettent un bruit qui rappelle celui produit par une prostituée qui se gargarise après une séance de sucement interactif où le pompage fait office d’activité culturelle !
le pays de merveilles de Rima est réservé aux adultes pervers et criminels !
Pourtant, son Levant natal a été le phare culturel, et multiculturel, du Monde Arabe du 20 ème siècle ! Faut dire que depuis 2 ou 3 décennies la France est devenue l’égout du Monde où on recycle les damnés de leurs pays d’origine, « artistes » comme « philosophes » ou encore « romanciers » et mêmes personnalités politiques dont le seul mérite est leur perversité affirmée mais refoulée dans leurs contrées d’origines et qui trouvent échos auprès des pervers locaux qui trouvent en eux des alliés inespérés et efficaces !
[ photos: Rima Abed al-Malak et Myriam Cahn, un dicton arabe: « on voit leurs caractères sur leurs visages » or on ne né pas laid on le devient]
Force est de constater que ce 21 ème siècle a démarré tambour battant et avance dans le temps au triple galop telle une jument indomptable ! Des « créateurs » de tous genres foisonnent à chaque coin de rue, je les imagine libérés de toute bride, sans sangles ni étriers, se donnant à califourchon en hurlant « tagada tagada tsouin tsouin » au rythme d’une cravache diabolique qui donne la mesure !
D’ailleurs, un autre ministre, un certain Bruno, n’y voit que des anus dilatés comme jamais et des vagins qui mouillent tels des torrents … de boue ! Un peu d’imagination non contrariée suffit à ces « grands génies » de léguer à l’humanité des chefs-d’œuvres innovateurs à un tel point que le crime à grande échelle devient la norme !
À se demander si le tableau pour pédophiles, défendu avec acharnement par Rima, dite la chicha, n’aurait pas induit chez son collègue Bruno une crise créative assez originale dans son genre !
Émergence d’un nouveau courant artistique et culturel: le BCC
Bien que assez récent, le mouvement BCC (Bite-Cul-Chatte) fait beaucoup d’émules, chez les « créateurs » et draine un public de plus en plus dense ! C’est le courant en vogue dans le Monde dit Occidental ! Rien d’étonnant à tout cela, de toutes les époques et depuis des millénaires, l’Art, au sens large du terme, a toujours été la première vitrine d’une société ou d’une civilisation donnée et notre époque n’échappe pas à cette règle !
De même, la trivialité a toujours été traitée, d’une manière ou d’une autre par les artistes, romanciers etc… je ne jugerai pas de la manière dont on aborde cette trivialité, par exemple ce qui est vulgaire ou grossier pour les uns ne l’est pas forcément pour les autres, tout le monde n’étant pas éduqué à la même enseigne et c’est bien ainsi, ce débat autour de la forme d’expression a jalonné l’Histoire de l’art depuis que la civilisation existe !
Par contre, c’est la définition de l’art même de nos jours qui m’interpelle. Sous prétexte de liberté d’expression peut-on tout permettre ?! Je pencherais vers le oui sans le moindre scrupule, cependant, peut-on considérer comme art l’apologie du crime (au sens large)? C’est une vraie question ! Peut-on, sous prétexte de liberté d’expression, exposer aux enfants un tableau ou l’on voit un gamin faire une fellation à un adulte ? Ou encore envoyer dans les collèges des transgenres expliquer aux enfants le comment du pourquoi du changement de sex ? Ou encore faire l’apologie de l’homosexualité dans les mêmes collèges? Pourtant la classe politique dominante qui encouragent des telles pratiques n’hésitent pas à censurer la sacro-sainte liberté d’expression quand on touche à certains faits historiques contestables et contestés, ou même à certaines activités gouvernementales plus que suspectes ! Comme par enchantement la liberté d’expression devient brusquement hors la loi !
Pire, on en est à inculper, ce qui est nouveau en France, les citoyens qui insultent le président ! Ni De Gaulle, ni Mitterand, ni Chirac n’ont eu recours à des telles méthodes alors que par moment ils étaient copieusement insultés, et d’un coup d’un seul on jette en prison des citoyens justement mécontents qui insultent un président qui a autant de charisme qu’une mouche sur une bouse de vache !
Ce que personnellement je comprends est que la liberté d’expression n’est permise que pour les pervers et les falsificateurs faisant fi des valeurs et des principes censés faire avancer la société !
Les nids interlopes
Cette parenthèse qui précède sur le BCC me paraissait nécessaire pour bien situer le discours absurde, pour ne pas dire criminel, de Rima la chicha et de ceux qu’elle représentent !
Je la vois encore debout dans l’hémicycle défendant avec acharnement et conviction un tableau, en plus d’être scandaleux, est tout simplement criminel et hors la loi sans aucun équivoque ! Faudrait savoir, la pédo-criminalité est-elle ou pas interdite par la loi ?!
On mène des perquisitions, à juste titre, chez des personnes qui archivent sur leurs ordinateurs des films pédo-pornographiques puis on les condamnent à des peines de prison mais en même temps on défend un tableau à caractère pédophile exposé au grand public dans un musée ? Où est la logique ?
Ce qui est surprenant dans l’affaire du tableau en question est le petit nombre des députés qui ont demandé sa censure alors que l’écrasante majorité avait gardé un mutisme pour le moins complice !
Aux députés qui ont osé braver la politique « sociale et culturelle » d’un gouvernement où les dérives criminelles font office de lois et de décrets, Rima réponds avec un argument aussi surprenant qu’hors sujet, je la cite: « la peintre Miriam Cahn (une juive suisse) a depuis 40 ans dénoncer les horreurs de la guerre ! » puis rappelle que la peintre a été inspirée par les prétendus « charniers » en Ukraine, où est le lien avec un tableau, pour le dire crûment, où un gamin à genoux suce la bite d’un adulte ?!
Ce qui est plus que dangereux dans ce tableau, encore plus que la scène de la fellation elle-même est la représentation subliminale insidieuse de l’adulte à savoir le cercle blanc qui cache son visage ! Dans l’imaginaire des enfants ce cercle laisse penser que l’homme en question est un ange ! Là on atteint l’infâme extrême, il est difficile d’aller plus loin dans l’apologie de la pédophilie !
[photo: Pierre Chassin, ex-député de FN, a eu le courage de vandaliser le tableau pédophile ce qui lui a valu d’être placé en garde à vue, peu importe ses convictions politiques que personnellement je combats, je salue son geste et son courage]
Au risque de paraître répétitif on revient toujours au congrès des sages sions qui s’est tenu au début du 20e siècle dont voici le résumé condensé : « détruire les sociétés occidentales en les pervertissant avec la drogue, les musiques et les arts de dégénérés, la pornographie, la pédophilie … en commençant par les jeunes ce qui nous permettra de dominer les États… » !
Nous y sommes, en vrai cette réalité existe depuis des décennies mais à atteint un point de non retour depuis une dizaine d’années ce qui est nettement visible de nos jours !
Les sionistes ont beau nier l’existence d’un tel protocole et crient au complot, s’ils trouvent échos en Occident cela a du mal à prendre en Orient pour une raison toute simple: l’Orient est très attaché à sa culture, je devrais plutôt dire à ses cultures, ce qui immunise ses populations contre les effets de mode pervers qui prennent racine facilement en Occident et pour cause on y a tué la culture. J’ai moi même pu expérimenté la différence entre la jeunesse levantine et la jeunesse occidentale, la première connaît son Histoire et son patrimoine culturel alors que la seconde ignore les siens ! Cette différence ne vient d’aucune politique voulue ni d’aucun système éducatif dans l’enseignement, cela vient de la maison où on a grandi et où les parents inculquent à leur enfants l’attachement aux racines qui passe par l’apprentissage et l’initiation à sa propre Histoire et à son propre patrimoine culturel. En réalité la culture est donc et avant tout un État d’esprit et non pas une accumulation de connaissances telles des œuvres de musée poussiéreuses qu’on admire à l’occasion de manière superficielle et dont on ne retient aucune leçon !
Par conséquent, la carence culturelle en Occident le rend perméable aux perversions et permet donc aux pervers et autres charlatans, apôtres de l’inculture, d’instaurer une nouvelle « culture » à leur image, superficielle, dégradante et à contre nature; ainsi les mal intentionnés et les voraces peuvent prendre le pouvoir en toute impunité échappant à toute surveillance ou censure !
Rima la chicha, est de ceux-là et elle est loin d’être la seule, une opportuniste-arriviste dont l’éducation est plus que suspecte, une verrue sur l’épiderme de l’ignorance et un chancre ou germe la perversité si chère aux amateurs du « pouvoir à tout prix » ! Ce qui m’intrigue est de savoir selon quels critères cette erreur de la nature est devenue ministre de la culture ? Qu’a-t-elle écrit ? Qu’a-t-elle fait pour la culture et les arts ? Quels sont ses diplômes, ses activités etc… il est bien loin André Malraux !
Force est de constater qu’en Occident on assiste au triomphe de l’ignorance où de l’inculture, je devrais dire la culture du néant, devient un système en soi où l’on jette aux loups toute personne essayant de résister à cette décadence planifiée et institutionnalisée, un système où les égouts remplacent les rivières nourricières de la connaissance et du progrès, le vrai progrès j’entends et non pas leur « progrès » qui n’est que décadence auto-destructrice, un égout où des Rima germent et se développent se nourrissant des gaz chauffant et nauséabonds qu’il dégage !
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